Lors du dernier pic de l’uranium (2007), certaines actions ont grimpé de +93’600%+101’900%, et jusqu’à +161’000%.

Avec 1’000€ investis, vous pouviez gagner 1 MILLION 600 000€.

Aujourd’hui, le marché de l’uranium recommence à gronder

Mais des forces encore plus puissantes sont à l’œuvre pour faire décoller les cours.

Dans cette présentation, je vous livre une stratégie 100% inédite.

Vous allez découvrir mon « action secrète », qui pourrait vous faire gagner plus que n’importe quelle mine ou producteur d’uranium.




Chère lectrice, cher lecteur,

Vous connaissez les Champs Phlégréens ? 

C’est une belle région italienne, au nord-ouest de Naples, où vivent près de 500’000 personnes.

Le mot “phlégréen” veut dire “brûlant”.

Car aussi belle qu’elle soit, la région cache un lourd secret :

Elle abrite un SUPERVOLCAN.

La zone des Champs Phlégréens est parsemée de cônes et cratères qui peuvent exploser à tout moment.

Il y a régulièrement une légère activité volcanique dans cette région… Mais rien qui trouble la vie des habitants.

Toutefois, les scientifiques craignent qu’un jour, le supervolcan se réveille et déclenche une super éruption.

Une super éruption, c’est une éruption si puissante qu’elle peut raser un pays… voire menacer la vie sur Terre.

Dans le cas des Champs Phlégréens, même un réveil modéré du volcan serait catastrophique : 500’000 personnes vivent directement dans le parc volcanique… qui se trouve juste à côté de Naples et sa banlieue (3 millions d’habitants).

En clair : si les Champs Phlégréens se réveillent, il va falloir dégager, et vite.

Heureusement, c’est rarissime: la dernière éruption de supervolcan a eu lieu il y a 40 000 ans.

Ce sont des événements aussi rares que violents, propres à changer le destin d’un continent… voire de l’humanité.

Pourtant, très peu de gens connaissent l’existence des Champs Phlégréens. 

Tout le monde connaît le Vésuve… Mais les Champs Phlégréens ?

Ce que tout le monde connaît, c’est le Vésuve, qu’on considère comme le volcan principal dans cette région…

Et la menace #1 dont il faut tenir compte !

C’est ironique : tout le monde a les yeux rivés sur le Vésuve, alors qu’il y a une menace largement supérieure à quelques kilomètres…

Et qu’elle est actuellement prise très au sérieux par les scientifiques :

Heureusement, il est très peu probable que l'on assiste à une super éruption de notre vivant...

Mais cette histoire de Champs Phlégréens et de Vésuve m'a fait penser à ce qui se passe en ce moment sur les marchés :

Il y a donc les marchés “Vésuve” et les marchés “Phlégréens”.

Aujourd’hui, on va du côté des marchés Phlégréens, avec l’une des ressources les plus précieuses et les plus controversées qui existe…

L’URANIUM.

Je suppose que vous connaissez.

C’est un métal radioactif qu’on trouve dans le sous-sol terrestre…

Mais surtout, c’est le combustible qui fait tourner les réacteurs nucléaires.

Ainsi, son prix est fortement corrélé à la politique énergétique des différents États…

Ce qui en fait une ressource ultra-sensible, d’intérêt stratégique, dont le cours peut varier dans des proportions extrêmes.

Or, si je vous écris ce message, c’est parce qu’une série de facteurs uniques sont réunis pour la première fois sur les marchés…

… Et qu’ensemble, ils devraient faire exploser le prix de l’uranium à des niveaux jamais vus.

On devrait atteindre un prix entre 150 et 300$ par livre (lb).

La dernière fois qu’il y a eu une grosse explosion des prix, l’uranium est monté à 145$/lb…

Ce qui a permis à certaines entreprises de gagner beaucoup d’argent… et de transformer leurs investisseurs en millionnaires, avec des cours qui ont explosé.

Je pense notamment à :

Or, ce qui nous attend aujourd’hui est encore plus puissant qu’en 2007, où l’offre s’était raréfiée, ce qui avait créé un choc mécanique sur les prix.

Aujourd’hui, c’est une combinaison rarissime de 5 facteurs qui n’ont jamais été réunis en même temps sur les marchés…

Si bien qu’il est impossible de savoir jusqu’à où va monter le prix de l’uranium.

D’après les experts avec qui je travaille, on devrait mécaniquement remonter à 150$/livre (un peu plus que le plus haut historique)...

Dans un PREMIER TEMPS.

Ensuite, on pourrait monter jusqu’à 300$/lb grâce aux 5 facteurs qui créent une pression à la hausse jamais vue.

Conclusion : l’uranium est comme le supervolcan dont on parlait. Il se réveille rarement, mais quand c’est le cas…

Il emporte tout sur son passage.

Voilà pourquoi vous devriez de toute urgence vous intéresser à l’uranium.

Dans cette présentation, je vais vous montrer quels sont les 5 facteurs qui sont en train de réveiller le “Supervolcan” des marchés qu’est l’Uranium…

… et je vous montrerai qu’il existe une “action secrète” que nous pensons être l’option la plus lucrative et la plus sûre pour générer des gains monstrueux sur le marché de l’uranium.

Indice : il ne s’agit pas d’une mine, ni d’un producteur d’uranium… c’est encore mieux que ça.

Mais d’abord, voici pourquoi le prix de l’uranium va décoller.

CATALYSEUR #1 : La demande en uranium explose

Ce qui se passe au niveau de la demande en uranium, on l’a déjà vu lors du premier pic de l’uranium…

Au milieu des années 70.

À cette époque, l’énergie nucléaire est une nouveauté ultra-populaire.

Tous les pays qui le pouvaient se sont lancés dans la construction de nouveaux réacteurs :

Bien sûr, l’offre en uranium est abondante… mais elle n’est tout de même pas suffisante pour absorber cette course au nucléaire civil.

D’autant qu’il est très compliqué d’augmenter les quantités disponibles.

Il faut parfois plus de 10 ans pour mettre en service une nouvelle mine d’uranium.

Ainsi, les fournisseurs d’électricité, inquiets que leurs réacteurs ne soient pas alimentés, achètent de l’uranium à tour de bras.

Résultat : en 4 ans, le prix de l’uranium est multiplié par 7.

Mais comme vous le voyez sur ce graphique… La frénésie s’est estompée à la fin des années 70.

Et pour cause : en 1979, un incident mineur à Three Mile Island (Pennsylvanie) a marqué l’opinion… et les nouveaux projets de construction de réacteur se sont taris.

Suite à ce premier pic, les investisseurs ont compris une chose : la demande en uranium peut décoller du jour au lendemain, mais l’offre ne suivra jamais aussi vite…

Et ce “choc de demande” peut faire exploser les cours en un claquement de doigts.

Rappelez-vous : dans les années 70, le prix de l’uranium a pris +600% en 4 ans.

Et il y avait beaucoup moins de pays investis dans la course au nucléaire qu’aujourd’hui.

Aujourd’hui, justement… 

La “Ruée vers l’Uranium” a lieu sous nos yeux !

Depuis la catastrophe de Fukushima (2011), on pensait que le nucléaire était mort et enterré…

Mais ça n’est pas du tout le cas.

Partout dans le monde, 30 pays envisagent de lancer de nouveaux programmes d’énergie nucléaire.

D'autres pays, dont l'Inde, la France, le Royaume-Uni et la Russie, ont d’ambitieux projets d’expansion nucléaire.

La liste est encore longue…

Au niveau mondial, on compte 56 réacteurs nucléaires en construction (dont 20 en Chine), mais aussi : 

Sachant qu’il y a déjà 440 réacteurs actifs dans le monde…

Il faut remonter à 1992 (31 ans !) pour trouver le même nombre de réacteurs nucléaires en construction.

Évidemment, ces projets font exploser la demande d’uranium…

Et à eux seuls, ils devraient doubler la consommation mondiale d’uranium d’ici 2040.

Mais surtout, ils indiquent que les mentalités ont changé.

Le Japon et l’Union Européenne ont attribué le “label vert” à l’énergie nucléaire en 2022.

Les États comprennent qu’ils n’ont pas le choix : le nucléaire est une filière rentable, ultra-efficace et surtout décarbonée.

Elle est parfaitement adaptée à l’électrification de notre parc technique…

Et contrairement aux clichés, c’est aussi une filière extrêmement sûre.

Les accidents marquent les esprits, c’est certain. Mais ils sont beaucoup plus rares que dans les autres filières : 

Tous ces éléments contribuent à un regain d’amour pour le nucléaire à travers le monde…

Ce qui crée un choc de demande violent et imprévu, que même les marchés secondaires (revente de stocks, etc.) ne peuvent pas absorber.

C’est d’ailleurs ce qui explique (en partie) pourquoi les prix de l’uranium sont remontés à leur niveau pré-Fukushima :

Mais ne vous méprenez pas… ça n’est qu’un début.

Le prix de l’uranium, autour des 70$/lb est encore sous-évalué…

Car il n’y a pas que la demande qui augmente brutalement :

L’offre, de son côté, est en train de se contracter à des niveaux inquiétants.

CATALYSEUR #2 : Choc d’offre sur l’uranium !

Souvenez-vous ;

Je vous ai dit qu’après le premier pic de l’uranium, dans les années 70, on avait appris une leçon essentielle : 

C’est ce qui donne au marché de l’uranium son potentiel explosif.

Mais ça n’est qu’une partie de l’équation…

Car l’offre peut aussi créer des mouvements surpuissants sur le marché.

Et ça, on l’a appris lors du deuxième pic de l’uranium, dans les années 2000.

À l’époque, la demande d’uranium stagne…

Mais l’offre, elle, s’est contractée d’un coup, à cause d’une vanne cassée au fond du mine.

La mine de Cigar Lake, au Canada, devait produire 10% de l’uranium mondial.

Une uranium premium, à très haute teneur…

Mais à la suite d’une petite fuite, des ouvriers ont tenté de réparer une vanne défectueuse… qui s’est brisée.

Résultat : La mine a été inondée et son exploitation arrêtée pendant 4 ans.

L’offre s’est donc contractée… mais pas qu’à Cigar Lake : d’autres mines ont accusé des retards de production, dus à des équipements défectueux et un personnel non qualifié.

Tous ces problèmes ont provoqué une onde de choc sur le marché de l'uranium.

Les producteurs ont fait des stocks pour vendre leur minerai au plus haut…

Les compagnies d’électricité ont acheté tout ce qu’elles ont pu en craignant que la hausse ne se poursuive…

En bref : tout le monde a voulu de l’uranium quand il était le plus dur à produire en grandes quantités.

Donc le prix a explosé.

Les prix sont passés de 20 $/lb à 140 $/lb début 2007, soit une hausse de 600 % en un an.

C’est à cette époque qu’on a vu l’explosion de certaines entreprises :

Le prix de l’uranium n’a fait “que” 600% en un an… mais ça a suffi à offrir des croissances exponentielles aux entreprises qui étaient là “au bon endroit, au bon moment”.

Et ça n’a rien d’une poignée d’exceptions : on a observé des gains conséquents sur de nombreuses autres actions :

Tout le secteur de l’uranium a pris une valeur considérable sur quelques mois, avant de revenir à des niveaux “normaux”.

Mais quelques mois, c’est largement suffisant pour encaisser des profits colossaux.

C’est ainsi que des investisseurs bien positionnés sont devenus millionnaires grâce à une seule action… en ayant investi parfois moins de 1000€ !

Mais là encore, ça n’était “que” dû à l’offre, tout comme le pic des années 70 n’était “que” dû à la demande.

Je vous ai montré que nous avions déjà un choc de demande aujourd’hui…

Mais là où ça devient exceptionnel, c’est qu’on a également un choc d’offre. Le marché se tend dans les 2 sens opposés… en même temps.

C’est inédit, et ça risque de propulser le prix de l’uranium très, très haut. 

Depuis 2011, “l’OPEP de l’uranium” resserre la vis

Après le pic monumental de 2007, les prix sont revenus à la normale.

Puis, il y a eu Fukushima, en 2011…

Et là, tout est retombé.

Des pays acheteurs d’uranium, comme le Japon et l’Allemagne, ont décidé d’arrêter le nucléaire.

Alors même que les producteurs continuaient à produire de l’uranium…

Trop d’offre + une demande en baisse = le prix de l'uranium est tombé à l'un des niveaux les plus bas de l'histoire.

Et il n'a pas bougé pendant longtemps…

Cette faiblesse du prix de l’uranium a scellé la faillite de centaines d’entreprises minières.

D’autres ont dû se reconvertir pour rester en vie.

Le nombre de sociétés minières cotées à l'ASX et au TSX s'est effondré, passant de 585 à environ 50.

Pour combattre ce phénomène, les entreprises du secteur de l'uranium sont donc revenues à leur ancienne stratégie : la discipline de production.

En bref, il s'agit de maintenir l'uranium dans le sol jusqu'à ce qu'il reprenne de la valeur.

Une discipline toujours plus dure jusqu’à nos jours…

En 2013, les plus grands producteurs d'uranium ont commencé à fermer leurs mines les unes après les autres.

Et la contraction est allée plus loin que prévu…

Pour que vous compreniez bien, vous devez savoir que 40 % de l'uranium mondial est extrait au Kazakhstan.

Le Kazakhstan est donc une superpuissance de l’uranium :  ses décisions peuvent à elles seules dicter son prix.

Or, en janvier 2017, le Kazakhstan a réduit sa production de 10 %.

Le reste du monde a reçu le signal...

Quelques mois plus tard, la mine de McArthur River au Canada a fermé - soit 15 % de la production mondiale d'uranium.

Le géant canadien Cameco a annoncé que la suspension était "pour une période indéterminée" en raison de la faiblesse des prix de l'uranium.

En 2018, plus de 50 % de la demande mondiale d'uranium avait été retirée de la production.

Et une seule entreprise avait éliminé plus de deux fois la demande mondiale annuelle : Cameco, le géant canadien.

« Depuis 2016, nous avons retiré du marché plus de 190 millions de livres d'uranium » - Tim Gitzel, président-directeur général de Cameco

En mars 2020, la production à Cigar Lake (l'ancienne mine inondée) a été suspendue.

Le mois suivant, le Kazakhstan a réduit les activités de toutes ses mines d'uranium.

Les fermetures visaient à réduire davantage l'offre afin que les mineurs d'uranium puissent éventuellement tirer parti de la montée en flèche des prix de l'uranium.

En fait, sur les sept principaux pays producteurs d'uranium dans le monde, cinq ont réduit leur production entre 2021 et 2022.

En 2022, Cameco a déclaré : "Nous poursuivons notre discipline d'approvisionnement pour une durée indéterminée".

Le marché de l'uranium passe rapidement d'une situation d'offre excédentaire à une situation d'offre gravement insuffisante... et aucune augmentation de la production n'est prévue dans un avenir proche.

« Depuis un certain temps, nous disons que le marché de l'uranium est plus vulnérable à un choc de l'offre qu'il ne l'a jamais été, en raison de la faiblesse persistante des prix » - Tim Gitzel, président-directeur général de Cameco

Les compagnies d'électricité commencent tout juste à se rendre compte qu'il y a très peu d'uranium à distribuer.

Pourtant, la demande s’active et de nombreux pays intensifient leur politique nucléaire civile, comme je vous l’ai expliqué plus haut.

Même le directeur de l'exploitation de Kazatamprom, le géant de l’uranium nationalisé du Kazakhstan, a déclaré publiquement qu'il n'y avait tout simplement pas assez d'uranium pour les prochaines livraisons.

C’est un moment décisif pour le marché de l’uranium mondial

Le premier pic a été provoqué par une ruée sur l'uranium de la part des États et leurs services publics.

Le second était dû à une diminution de la production.

Cette fois-ci, il s'agit des deux.

Les mineurs limitent la production, et les États recommencent à se tourner vers l’uranium.

Choc d’offre + Choc de demande = EXPLOSION à venir du marché.

Vous savez donc ce qui va se passer.

Nous sommes à un retard de production, un tuyau cassé ou une décision politique de l'uranium à 150 $/lb (contre à peine 70 actuellement).

Sauf que quand l’uranium fait x2, certaines entreprises du secteur font x20 ou x200, comme on l’a vu avec Paladin, Laramide, Forsys Metal et toutes celles qui ont explosé en 2007…

Mais ce n’est pas tout.

C’est déjà ÉNORME, mais il y a 3 autres catalyseurs qui vont faire EXPLOSER les prix !

Si vous m’avez lu jusqu’ici, bravo.

Vous avez un coup d’avance sur 99% des investisseurs.

Vous savez que la situation est encore plus tendue sur le marché de l’uranium qu’à l’aube du premier ou du second pic.

Le troisième pic risque donc d’être spectaculaire…

Car il y a encore plus.
 
En début de lettre, je vous ai dit qu’il y avait 5 catalyseurs qui étaient à l'œuvre pour faire exploser les cours de l’uranium.

Ça vous paraît peut-être déjà énorme, que les États aillent tous aussi fort sur l’uranium alors que l’offre continue de diminuer…

Mais vous n’avez encore rien vu.

Car les forces dont je vais vous parler ne font que renforcer notre thèse d’investissement, qui semble déjà bien solide…

CATALYSEUR #3 : Les spéculateurs entrent sur les marchés !

Ensemble, on a vu que les producteurs réduisaient l’offre pour faire monter les prix…

Et que les fournisseurs d’électricité faisaient des stocks quand les prix étaient bas.

C’est ce qu’on appelle de la spéculation : de part et d’autres, les acteurs du marché jouent sur les prix en anticipant les fluctuations à venir.

Mais au moment où je vous parle, la spéculation autour de l’uranium entre dans une nouvelle dimension…

Car de nouveaux acteurs entrent sur le marché.

Ils ne sont pas là pour produire de l’uranium, ni pour fournir de l’électricité.

Ils sont juste là… pour spéculer.

Une poignée d’entre eux sont en train d’acheter massivement des millions de livres d’uranium… afin de réduire artificiellement l’offre et profiter d’une explosion des prix qui devrait se produire en 2024 ou avant.

L'un de ces spéculateurs est Sprott, Inc. qui, en juillet 2021, a acheté une société de portefeuille d'uranium physique et l'a rebaptisée "SPUT" : Sprott Physical Uranium Trust.

SPUT s'est immédiatement lancé dans une frénésie d'achat, éliminant les stocks d'uranium existants.

En fait, elle a acheté plus d'uranium que la société d'origine n'en avait acheté en 16 ans... en seulement 4 mois.

C’est monstrueux.

Au total, Sprott Uranium Trust détient 61 845 847 livres d'uranium. 

Cette seule entreprise achète plus d'uranium que tous les réacteurs nucléaires des États-Unis réunis.

Or, la loi oblige SPUT à racheter de l’uranium à chaque fois que la valeur de son action dépasse celle de ses stocks d’uranium.

Résultat : elle achète toujours plus d’uranium, ce qui fait pression sur les prix, qui montent, la valeur de SPUT monte, elle en rachète…

Bref, un vrai cercle vicieux.

SPUT et les autres spéculateurs diminuent l’offre disponible, qui était déjà diminuée suite aux décisions du Kazakhstan, de Cameco et de la plupart des producteurs…

Mais il y a pire :

L’uranium acheté par SPUT et ses semblables disparaît des marchés !

Un nouveau fonds s’apprête à lever 500 millions de dollars (il en a déjà levé 125) pour concurrencer SPUT et acheter de l’uranium en masse.

Mais ça n’est pas qu’une question de prix : pour les fournisseurs d’électricité, il s’agit d’avoir de l’uranium à acheter, peu importe le prix.

En effet, la structure actuelle de SPUT, du point de vue légal, ne lui permet pas de revendre son uranium pour l’instant. Les livres d’uranium sont “effacées” de l’offre…

Pour les pays les plus engagés dans le nucléaire, c’est un problème central.

Et ne comptez pas sur les marchés secondaires des États ou des entreprises pour renflouer le marché principal.

Aujourd’hui, le marché secondaire ne pourrait couvrir que 60% du déficit actuel. 

D’autant que les mineurs ont cessé de chercher de nouveaux gisements, conformément à leur politique de discipline de production.

Les dépenses d’exploration ont baissé de 80% entre 2011 et 2021.

D’ici à 2030, ces investissements dérisoires en explorations devraient produire leurs effets… et réduire de moitié (à nouveau !) l’offre d’uranium disponible.

Dans le même temps, l’Association Nucléaire Mondiale prévoit une augmentation de 100% de la demande d’ici 2030.

Et elle ne tient pas compte d’une nouvelle demande qui va croître exponentiellement dans les années à venir (j’y reviendrai). À mon avis, on peut plutôt tabler sur du 200%...

En tous cas, une chose est sûre : l’uranium va manquer, et il n’existe pas de substitut.

Tous les propriétaires, exploitants et promoteurs de centrales nucléaires commencent à réaliser qu’ils doivent acheter de l’uranium, et vite.

C’est une question de sécurité énergétique majeure.

Les derniers arrivés pour acheter ce qui reste vont se retrouver dans le noir…

C’est pourquoi les plus grandes puissances nucléaires au monde (USA, France, Chine, Russie) prennent des mesures sans précédent pour garantir à leurs compagnies d’électricité un accès à l’uranium.

Quiconque peut leur fournir cet accès risque de devenir très, très riche…

Et c’est pour cette raison que je vous présenterai dans un instant mon “action secrète” avec laquelle je compte jouer cette explosion du marché de l’uranium.

Mais d’abord, passons au catalyseur #4 : une nouvelle demande en énergie est en train d’apparaître, et elle va encore augmenter la tension entre offre et demande.

Catalyseur #4 : Les milliardaires veulent leurs centrales

Aujourd’hui, le besoin d’énergie est en forte croissance.

Je ne vous apprends rien en disant ça, par contre vous serez sûrement surpris de savoir d’où vient une part conséquente de cette demande
 
Elle vient de l’essor des nouvelles technologies, et en particulier de l’Intelligence Artificielle, qui consomme une puissance de calcul et de stockage de données absolument monstrueuse.

Regardez ce graphique : 

Depuis les années 50, la puissance de calcul utilisée pour développer l’informatique (et la mener à l’Intelligence Artificielle) doublait tous les 20 mois.

Pour ceux qui connaissent, c’est plus ou moins ce que prévoit la Loi de Moore

Mais en 2010, sans explication, cette “loi” a disparu.

La puissance de calcul utilisée pour entraîner l’IA (car c’est devenu l’horizon commun, la “nouvelle informatique”) double désormais tous les 6 mois.

En un peu plus de 10 ans, la puissance de calcul utilisée pour mettre au point des modèles d’IA a été multipliée par… 10 MILLIARDS. Et il n’y a aucun signe de ralentissement pour l’instant.

C’est pourquoi Sam Altman, le patron d’OpenAI et “père” de ChatGPT, dit que l’IA va prendre “une quantité énorme” d’énergie pour se développer.

Pour résumer : l’IA est le futur de l’humanité, et elle va consommer énormément d’énergie, bien plus que vous l'imaginez.

Et aujourd’hui, l’énergie doit être abondante, facilement convertible en électricité… et surtout décarbonée.

Il n’y a que le nucléaire qui puisse tenir ces promesses.

Or, ce problème… Les milliardaires de la Tech l’ont anticipé il y a plus de 10 ans. 

L’équation de Bill Gates

Depuis qu’il s’est retiré de Microsoft (2008), Bill Gates a créé une autre entreprise : Terrapower.

Son objectif est simple : révolutionner la production d’énergie nucléaire aux USA.

Mais il n’est pas le seul à lorgner vers le secteur nucléaire…

En 2013, le fondateur de PayPal Peter Thiel et le créateur d’OpenAI Sam Altman ont eux aussi investi massivement dans une entreprise du nucléaire, appelée Helion.

La même année, Altman a créé une autre entreprise, toujours dans le nucléaire. Là encore, son nom ne vous dira rien : Oklo.

Oklo a pour but de vendre de l’énergie nucléaire produite par des réacteurs miniatures qui seraient produits en série.

Plus d’ordinateurs = Plus de centrales nucléaires

Pour alimenter l’IA (et le Cloud, et l’informatique quantique, etc…) il faut de l’électricité dans des proportions démentielles.

Pour se rendre compte des quantités dont on parle, prenons le superordinateur Frontier.

C’est le plus puissant du monde, il a été mis en service l’an dernier.

Sa capacité de calcul est 1,1 exaflops, ce qui signifie qu’il peut effectuer 1000000000000000000 opérations par seconde (il y a 18 zéros).

C’est ce genre de puissance de calcul dont on a besoin pour faire avancer l’IA.

Frontier est ce qu’on a de mieux concernant le rapport puissance de calcul/énergie nécessaire pour fonctionner.

Mais quand même… Il lui faut 29MW pour fonctionner, soit autant d’énergie que 30.000 foyers.

La troisième plus grande mine de cuivre du Canada a elle aussi besoin de 29MW pour fonctionner, pour vous donner une idée…

Or, le développement de superordinateurs est en plein boom : 

Comme vous le voyez, c’est la nouvelle course à l’espace…

Mais il y a UN gros problème

Si on construisait UN SEUL ordinateur du calibre Zetta prévu par Intel avec nos moyens actuels…

Il lui faudrait 21 centrales nucléaires pour fonctionner.

Pour donner un ordre d’idée, tous les data centers des USA combinés consomment la même quantité d’énergie.

L’énergie est le Challenge Numéro 1 que nous devons relever pour continuer cette accélération technologique que nous vivons” - Lisa Su, CEO d’Advanced Micro Devices (leader des semi-conducteurs)

Heureusement, l’efficacité énergétique augmente elle aussi rapidement.

Mais ça ne suffit pas à équilibrer les choses… au taux de croissance actuel, un seul superordinateur aura toujours besoin d’une demi-centrale nucléaire pour fonctionner d’ici 10 ans.

L’objectif, c’est de ramener la consommation électrique d’un ordinateur de calibre Zetta à 100MW, ce qui correspond à peu près à la production d’un petit réacteur nucléaire modulaire.

C’est ce que consomme également une grande mine, une raffinerie de pétrole ou de produits chimiques.

Et c’est exactement ce que s’apprêtent à fournir les 3 entreprises dont je vous parlais plus tôt : Oklo, Helion et Terrapower produisent des petits réacteurs nucléaires, conçus spécifiquement pour que l’IA puisse transformer le monde.

Ensuite, ils distribueront leurs réacteurs à d’autres clients… Tels que mines et raffineries dont nous venons de parler.

Et tout ça arrive beaucoup plus vite que vous le pensez. 

Une réaction en chaîne aux conséquences mondiales

Pour Gates et Altman, ChatGPT n’était que la moitié d’un puzzle en 2 parties :

“Les 2 piliers d’un futur prospère sont une intelligence et une énergie abondantes” - Sam Altman.

Lors des 10 dernières années, ils ont travaillé sur les deux parties.

On a beaucoup plus parlé de ChatGPT car c’était plus accessible au grand public… et plus facile à construire que les nouveaux réacteurs - mais ceux-ci sont désormais prêts.

Prenez la boîte de Sam Altman, Oklo.

Son premier réacteur devrait être approuvé pour une mise sur le marché l’an prochain. Il devrait commencer à fonctionner en 2027… et il va révolutionner les standards du nucléaire :

Oklo a déjà 50 réacteurs en cours de construction… La moitié de ce que les USA ont construit en un siècle !

Cela arrive pile au moment où OpenAI (que Microsoft détient à 46%) a désespérément besoin d’énergie bon marché. Sam Altman lui-même a déclaré que les coûts énergétiques de ChatGPT avaient de quoi faire pleurer…

Et Microsoft aussi a besoin d’énergie. D’autant d’énergie que possible. Ils ont récemment déclaré que leurs data centers auraient besoin de 30 réacteurs nucléaires.

Une fois que les petits réacteurs seront validés pour l'industrie et la défense, ce sont des petites villes qui seront clientes…

Mais ça n'est pas qu’un jeu qui concerne Thiel, Gates ou Thiel.

On peut aussi citer Jack Ma, Jeff Bezos ou Reid Hoffman parmi les milliardaires qui ont investi massivement dans le nucléaire.

La société nucléaire de Jeff Bezos, General Fusion, espère produire de l’énergie dès 2025.

Imaginez le pouvoir d’un titan comme Amazon qui produit des réacteurs nucléaires… Ils alimenteraient toutes leurs activités, devenant ainsi complètement autonomes vis-à-vis des pouvoir publics !

On peut même imaginer, encore plus loin, qu’Amazon devienne un fournisseur d’énergie pour les particuliers…

Aussi vite que ChatGPT s’est répandu dans le monde, l’IA va permettre une énergie sûre et peu chère grâce à la révolution nucléaire qui va l’alimenter.

Le seul grain de sable qui peut gripper l’engrenage… Vous le connaissez.

Sans l’atome, pas d’IA

Alors que l’IA va tracter la demande d’énergie nucléaire…

Les producteurs d’uranium, eux, ont largement réduit l’offre.

Ce qui signifie, aussi étrange que cela puisse paraître… que l’uranium est désormais le facteur-clé pour la croissance de l’IA.

Sans uranium, on peut construire tous les réacteurs qu’on veut, il ne se passera rien.

Terrapower vient de l’apprendre à ses dépens avec la guerre en Russie.

La Russie est l’un des seuls fournisseurs au monde pour le type d’uranium compatible avec la technologie Terapower.

Alors l’entreprise dépensait 750 millions de dollars pour construire un réacteur, elle s’est aperçue qu’elle ne pourrait pas acheter le combustible nécessaire à son fonctionnement.

C'est pourquoi Bill Gates milite activement pour un approvisionnement en uranium sécurisé aux USA. Et c’est aussi pourquoi Oklo, de son côté, continue à pousser pour “revitaliser la fabrication nationale de combustible nucléaire”.

Hélas, toutes les ressources ne sont pas également réparties sur la planète…

Mais le sujet est toujours plus brûlant : le nucléaire fait son grand retour sur la scène internationale, et des dizaines de pays cherchent à sécuriser leurs approvisionnements.

Les USA vont eux aussi tout faire pour avoir tout l’uranium dont ils ont besoin.

Ça n’est plus qu’une question d’énergie… C’est une question de développement technologique, de compétitivité, et in fine de hiérarchie des puissances mondiales.

En fait, le 2 février 2023, le sénateur Joe Manchin a proposé une loi dans ce sens… la proposition de loi S.452.

Si elle est adoptée, elle obligera le Secrétariat à l’Énergie à mettre en place un programme d’approvisionnement sécurisé du combustible nucléaire.

Ce projet de loi devrait être adopté fin novembre. Et il va ne faire qu'accentuer la pression sur le marché de l’uranium.

Ce catalyseur est plus surprenant que les autres… Mais il témoigne d’un changement profond dans notre rapport à l’énergie. La raréfaction des ressources et la hausse de la demande poussent les acteurs privés à s’engager à produire eux-mêmes de l’énergie.

Nous touchons bientôt à la fin de cet exposé… Et à la révélation de ma stratégie pour jouer cette hausse de l’uranium en visant des gains les plus élevés possibles.

Il me reste juste à vous livrer le dernier facteur qui va faire exploser le prix de l’uranium :

CATALYSEUR #5 : La guerre en Ukraine (et au Niger) a changé la donne

La Russie est le 1er pays dans l’enrichissement d’uranium (étape cruciale pour le rendre exploitable). 39% de l’uranium mondial est enrichi là-bas.

Le Kazakhstan, on l’a vu, est le 1er producteur d’uranium mondial. 40% de l’uranium mondial est produit là-bas.

Les USA comptent sur la Russie pour enrichir 20 à 25% de leur uranium… Sachant qu’ils sont les plus gros consommateurs mondiaux.

Ça n’est pas idéal vu leur opposition frontale en Ukraine.

Début 2023, la Chambre des représentants et le Sénat des États-Unis ont tous deux adopté des projets de loi visant à interdire l'uranium russe et à relancer l’industrie de gestion de l’uranium aux USA.

On parle de l’American Nuclear Fuel Security Act.

En Europe, même chose : les 27 de l’UE font front commun : 

Ainsi, un marché déjà bien secoué par les 4 premiers catalyseurs se retrouve en plus morcelé… Ce qui ne va faire que renforcer la pression sur l’offre.

D’autant que dans le même temps, la France vient de se faire mettre dehors au Niger, à la suite du coup d’État !

Et il se trouve qu’Orano (ex-Areva) exploitait là-bas des sites stratégiques d’extraction d’uranium…

À votre avis, que vont faire les (gros) consommateurs d’uranium que sont les USA, l’Europe et leurs alliés ?

Ils vont capitaliser à fond sur les mines occidentales… qui elles, auront l’embarras du choix quant à leurs clients…

Et vont encaisser des tombereaux de cash qu’on peine à imaginer.

Ces mines pourraient aussi vous rendre riche, si vous suivez la stratégie dont je vais vous parler.

Mais attention, nous n’allons pas investir dans les mines, on va faire plus intelligent que ça.

J’y reviens dans un instant, mais d’abord, jetez un œil à ce tableau :

C’est ça, qu’il faut retenir : l’offre et la demande subissent au même moment une énorme tension due à de multiples catalyseurs.

Ça se tend, ça se tend…

Le prix a déjà plus que doublé depuis 2018 :

Mais il n’est pas encore à la moitié du prix qu’il devrait mécaniquement atteindre prochainement (150$/lb), c’est-à-dire des niveaux similaires à 2007 :

Sachant que ce prix de 150$/lb n’est pas un objectif final…

Ça n’est qu’une étape dans le prochain supercycle, qui pourrait envoyer l’uranium chercher des prix jusqu’à 300$ la livre !

Mais aujourd’hui, il n’est qu’à 70$, et le grand public n’a aucune idée que le marché gronde…

Alors vous avez un coup d’avance. Voici comment le jouer. 

Comment profiter de la nouvelle EXPLOSION des prix de l’uranium ?

Jusqu’à présent, il n’existait que 2 façons d’investir sur l’uranium : 

Mais ces 2 stratégies ont des limites assez gênantes pour un investisseur.

Les producteurs d’uranium prennent de gros risques : toutes les mines ne sont pas rentables, il faut 10 ans avant la mise en service d’une nouvelle mine et des millions de dollars en équipement. Il suffit d’un accident (comme celui de Cigar Lake) pour qu’un producteur d’uranium se retrouve dans le rouge, avec son action qui plonge.

Les ETF quant à eux moyennisent toute la performance du marché : vous achetez les gagnants, mais aussi les perdants. Si tout le marché monte, bien sûr, vous gagnerez de l’argent. Mais vous risquez surtout de passer à côté des vrais gains stratosphériques que permet le marché de l’uranium…

La dernière fois que l’uranium a connu un pic (2007), certaines entreprises sont devenues célèbres pour l’explosion de leur cours, comme Laramide Resources et ses +161’000% :

Dans le même genre, Paladin Energy avait fait +93’600% (x937) et Forsys Metal +101’900% (x1020).

À l’époque, ces entreprises étaient des paris risqués… Mais c’est eux qui ont créé des multimillionnaires, même parmi les gens qui n’avaient misé que 1000€.

Je pourrais donc m’arrêter là et vous dire que c’est à vous de voir : soit vous investissez dans de petites entreprises d’uranium ultra-risquées, soit vous prenez un ETF, soit vous achetez des actions d’un mineur qui a déjà une taille conséquente.

Mais vous n’avez pas lu tout ça pour que je vous dise ça…

La raison pour laquelle je vous écris ce message, c’est qu’il existe depuis 2019 une nouvelle stratégie pour viser des gains massifs sans prendre de risques démesurés sur le marché de l’uranium.

La stratégie des Royalties.

Le business le plus efficace au monde ?

L’entreprise dont je vous parle est la seule au monde à avoir adopté ce modèle pour l’instant…

Sur le marché de l’uranium.

Pourtant, ce modèle existe déjà sur les marchés de l’or, de l’argent, du cuivre…

En réalité, les entreprises les plus puissantes de ces secteurs ont adopté ce modèle, qu’on appelle le Royalty Business.

Vous connaissez peut-être la célèbre entreprise Franco-Nevada… C’est le Royalty Business #1 sur le marché de l’or.

Pour que vous compreniez la puissance de ce modèle, je n’ai que 2 chiffres à vous donner : 

Ça fait 40 millions de dollars par employé. Je ne connais aucun autre business qui publie des chiffres aussi démentiels.

Aujourd’hui, Franco-Nevada vaut 35 milliards de dollars canadiens en bourse… et c’est largement justifié.

L’entreprise dont nous parlons sur le marché de l’uranium vaut 80 fois moins : 434 millions de dollars canadiens…

Car elle est encore jeune et peu connue. Mais son potentiel de croissance est astronomique.

En fait, je dois vous le dire tout de suite : je possède moi-même des actions de cette entreprise, et je suis convaincu qu’elles peuvent faire un x10 rien qu’en 2024.

C’est pourquoi j’ai décidé de vous dévoiler toute cette stratégie dans un document unique :

Dans un instant, je vous explique comment obtenir ce dossier dès aujourd’hui. Comme vous l’avez vu, le marché de l’uranium est en ébullition… et il n’y a pas de temps à perdre.

Mais d’abord, j’aimerais vous en dire plus sur le fonctionnement de cette entreprise. 

Pourquoi les Royalty Business surpassent les autres stratégies ?

L’action secrète dont je vous parle, c’est un Royalty Business sur l’uranium.

En fait, le premier et le seul qui existe.

Notre action secrète est une entreprise qui touche des redevances sur 18 mines, parmi les plus rentables et les plus grosses au monde (Cigar Lake et McArthur River, entre autres !).

Mais comment ça marche, un Royalty Business ?

C’est simple : imaginez que vous ayez acheté les droits d’une chanson que vous aimez.

Elle ne vous a pas coûté grand chose, car elle n’est pas très connue…

Et vous touchez un petit pourcentage quand on la diffuse sur la radio du coin. Ce pourcentage, ce sont vos “royalties”.

Sauf qu’un jour, elle devient virale.

Elle apparaît dans une vidéo qui fait des millions de vues.

Puis dans une pub.

Puis dans un film.

Elle grimpe le hit-parade. On l’entend tous les jours à la radio.

Des millions de personnes l’écoutent chaque jour.

Et là, vos royalties explosent… vous devenez toujours plus riche, à mesure que des millions de gens cliquent sur le bouton “Play” pour écouter votre chanson.

C’est ça, le Royalty Business.

Dans notre cas, l’entreprise investit dans une mine pour l’aider à se lancer et démarrer la production…

Et en échange, elle touche des redevances (ou “royalties”) sur ce que produit la mine…

Pour toujours.

C’est comme un dividende, mais en mieux : le Royalty Business touche de l’argent en fonction de ce que produit la mine, mais pas de son résultat financier.

En clair : l’entreprise de minage peut être dans le rouge au global, elle verse quand même de l’argent au Royalty Business pour les mines qu’il a aidé à financer.

Et même si ça semble injuste qu’un mineur en difficulté continue à payer un Royalty Business, ce sont les mineurs eux-mêmes qui plébiscitent ce modèle

Car cela leur permet d’éviter la dette auprès d’un créancier qui exige un montant fixe avec intérêts peu importe la production…. ainsi que la vente de leurs stocks stratégiques d’uranium pour se financer.

En clair, le Royalty Business permet aux mineurs d’avoir des partenaires de long-terme qui sont payés en fonction de la production de la mine, sans taux d’intérêt.

Et pour le Royalty Business… C’est du cash assuré après l’investissement initial.

Sur un marché en pleine effervescence comme celui de l’uranium, cela promet des revenus exponentiels. 

Royalty Business VS Mineurs VS ETF : qui l’emporte ?

Quand j’ai voulu entrer sur le marché de l’uranium, j’ai procédé de façon simple : 

Le résultat, c’est ce tableau :

Le Royalty Business est le seul à cocher toutes les cases : permettre des gains majeurs sans prendre des risques démesurés… et avec une rentabilité impossible ailleurs.

C’est la raison pour laquelle je pense que l’action secrète sur laquelle je mise va exploser.

Il me paraît certain qu’elle va doubler prochainement, car elle vaut à peine la moitié de la valeur de ses actifs nets… ce qui est une valorisation absurde, sans même regarder l’état du marché de l’uranium.

Ensuite, son cours pourrait être multiplié par 5 pour rejoindre la moyenne de la valorisation des Royalty Businesses par rapport à leurs actifs nets…

Et enfin, tout ceci ne tient pas compte de l’évolution des prix de l’uranium, qui, comme on l’a vu, pourrait monter à 150$/lb d’ici peu de temps.

Et là, le cours de notre action secrète pourrait encore doubler au minimum.

C’est pour cette raison que je suis assez confiant sur un “x10” d’ici 12 à 16 mois. 

Tout ce que vous devez savoir sur cette action secrète est ici :

Dans ce dossier d’une dizaine de pages, je vous dévoile l’envers du décor : 

En bref : c’est votre guide tout-en-un pour viser un x10 en 2024.

(Sans compter que cette entreprise devrait se mettre à verser des dividendes dans quelques années.)

Ce dossier, malheureusement, je ne peux pas vous l’offrir. L’action que je révèle est une petite capitalisation à très fort potentiel, alors je ne peux pas la dévoiler “comme ça”...

Mais je peux vous l’envoyer immédiatement sans que vous preniez le moindre risque.

Tout ce que je vous demande en retour, c’est d’essayer Profits Asymétriques, ma publication phare de recherche en investissement. 

Comment ça marche ? 

Vous vous abonnez à l’essai, je vous envoie le dossier Uranium 150 (+ d’autres cadeaux, mais je vous en reparle dans un instant), et vous arrêtez l’abonnement si ça ne vous plaît pas.

Vous ne prenez aucun risque puisque vous êtes couvert par la garantie.

De mon côté, je sais que beaucoup d’entre vous apprécieront Profits Asymétriques et voudront continuer leur abonnement, ce qui m’assure une base de clients sur le long terme.

C’est du gagnant-gagnant.

La MEILLEURE publication pour les investisseurs Tech & Crypto

Si je vous demande d’essayer Profits Asymétriques pour recevoir votre dossier Uranium 150, il y a une bonne raison.

En réalité, ce dossier fait partie de Profits Asymétriques.

Tous les mois, les membres de Profits Asymétriques reçoivent un dossier comme celui-ci avec une analyse détaillée d’une action ou d’une crypto, accompagnée d’une recommandation d’achat.

Les membres ont également accès au site privé Profits Asymétriques, qui contient l’ensemble des dossiers, mais surtout le portefeuille Profits Asymétriques (actualisé en temps réel) :

Normalement, une publication avec suivi de portefeuille coûte plusieurs milliers d’euros à l’année

Mais depuis son lancement en 2021, Profits Asymétriques casse les standards.

Aussi, vous pouvez nous rejoindre dès maintenant pour moins de 100€

L’objectif est de permettre à tous les investisseurs qui le souhaitent de s’exposer aux meilleures actions Tech et aux meilleures cryptomonnaies sans se ruiner…

Et en suivant les conseils d’experts de la Tech qui sont normalement inaccessibles pour le grand public…

L’élite de la recherche financière des USA… à votre service

Quand j’ai créé Argo Éditions en 2021, je me suis rapproché des meilleurs groupes de recherche financière au monde, dont la plupart sont basés aux États-Unis.

Après plusieurs mois de négociation, j’ai réussi à signer avec mon premier choix : le groupe Stansberry Research, basé à Baltimore dans le Maryland.

Je me suis rapproché de leur département d'investissement Tech & Crypto pour lancer Profits Asymétriques à leurs côtés en septembre 2021.

Profits Asymétriques est dirigé par 2 légendes du secteur de l’investissement dans les nouvelles technologies : Eric Wade et John Engel.

Eric Wade est un entrepreneur, investisseur et business angel chevronné.

Il est surtout connu pour s’être lancé dans les cryptomonnaies dès 2011. C’est l’un des premiers Américains à avoir miné du Bitcoin, puis de l’Ethereum, avant de devenir consultant dans la blockchain.

Depuis 2018, il est Head of Crypto Investment chez Stansberry Research, et s’occupe notamment d’identifier les cryptomonnaies qui sont conseillées à l’achat dans le portefeuille Profits Asymétriques.

Une de ses grandes forces, c’est son réseau.

Ici, vous le voyez en compagnie de Vitalik Buterin, le créateur d’Ethereum (et possiblement la personnalité la plus importante de l’écosystème crypto).

Eric est également connu pour avoir développé des méthodes d’analyse de pointe pour repérer des cryptomonnaies avant qu’elles n’explosent.

Il a par exemple conçu le fameux système UPDRAFT utilisé par de nombreux analystes pour identifier les cryptos dans lesquels ils souhaitent investir.

Ce système lui a permis (entre autres) de faire des gains massifs sur Polygon (+1’347%), Secret Network (+1’518%), Harmony (+1’837%), Band Protocol (+1’195%) et j’en passe.

John Engel, son associé à la tête du département Tech & Crypto chez Stansberry, est chercheur de formation.

Après des études à la prestigieuse John Hopkins University, il a travaillé dans la recherche pharmaceutique au sein d’entreprises telles que le géant Eli Lilly, où il a participé à la conception de nouvelles thérapies.

John s’est ensuite dirigé vers le conseil en investissement, d’abord en se spécialisant dans les biotechnologies (ses recommandations ont dépassé les +600%, +390%, +325%...) puis en s’entourant d’analystes qui complètent sa vision et scrutent l’intégralité des marchés technologiques.

Parmi ses faits d’armes, John a repéré avant tout le monde 2 entreprises qui développaient la technologie d’édition génique CRISPR Cas-9… dont les créatrices ont obtenu le prix Nobel.

L’année d’avant, John disait texto dans une de ses recommandations :

« Cette découverte vaut des milliards, et bouleverse notre approche de la médecine. Franchement, ça mérite le prix Nobel. Mais ils ne l’ont pas reçu… Pas encore ! ».

Dans l’année qui a suivi, les créatrices des ciseaux génétiques CRISPR ont reçu le Prix Nobel, et les 2 recommandations de John ont grimpé de +156% et +160%.

Aujourd’hui, Eric et John passent leur temps à étudier et analyser tous les secteurs technologiques de pointe pour transmettre les meilleures opportunités aux clients de Profit Asymétriques

Si vous nous rejoignez aujourd’hui, j’ai une offre ultra-avantageuse à vous proposer.

3 mois d’essai à Profits Asymétriques + votre dossier Uranium 150… à un prix défiant toute concurrence !

Le dossier Uranium 150 - L’action secrète pour viser un x10 en 2024  est étiqueté à 199€, et croyez-moi, ça les vaut.

Mais je me suis dit que la plupart de mes lecteurs seraient trop frileux pour mettre 199€ sans garantie…

(Et entendons-nous : ça n’est pas un reproche. J’aime autant que vous soyez sélectif).

C’est pourquoi j’ai pris une décision radicale.

Je vous offre le dossier Uranium 150 si vous vous abonnez à l’essai à Profits Asymétriques pour une durée de 3 mois (100% sans engagement)...

Le tout pour 29€ !

Ainsi, vous recevrez votre dossier Uranium 150 dès l’inscription, et vous aurez 3 mois pour découvrir Profits Asymétriques sans prendre aucun risque.

Vous recevrez donc les dernières recommandations d’Eric Wade et John Engel.

Pendant ces 3 mois, vous aurez accès en continu au site privé Profits Asymétriques, avec l’intégralité du portefeuille Tech & Crypto dont voici quelques une des meilleures performances :

Les dernières recommandations de John et Eric risquent elles aussi d’entrer prochainement dans ce Hall of Fame…

Mais ce n’est pas tout.

En plus de votre abonnement trimestriel à Profits Asymétriques et votre dossier Investir dans ChatGPT, j’ai décidé de vous offrir 2 cadeaux de grande valeur.

Cadeau #1 : Uranium - 2 actions pour profiter du prochain supercycle (valeur : 199€)

Notre Royalty Business est, à mon sens, la meilleure façon de jouer cette explosion du marché de l’uranium…

Mais comme on l’a vu, les ETF et les minières ont elles aussi des avantages. C’est pourquoi j’ai préparé un second dossier avec 2 actions, une minière et un ETF, qui complètent votre “portefeuille Uranium” à merveille.

J’ai choisi des actions de grande qualité avec un risque minimal, de sorte à ce que vous profitiez d’une forte croissance sur l’uranium… sans prendre de risques inutiles.

Ainsi, vous découvrirez un des mineurs les plus solides sur le marché mondial, qui s’est positionné idéalement pour profiter du supercycle…

Mais également l’un des ETF les plus prometteurs pour viser des gains faciles et réguliers.

Et ce n’est pas tout : si vous décidez de nous rejoindre aujourd’hui, j’ai un second cadeau pour vous. 

Cadeau #2 : L’action IA à acheter maintenant (valeur : 199€)

Je vous en ai parlé plus haut : l’IA est une tendance incontournable du siècle…

C’est pour continuer à la développer que les milliardaires veulent leurs propres réacteurs nucléaires !

L’action que je vous propose de découvrir dans ce dossier est l’un des futurs fers de lance de l’IA. Vous n’en avez certainement jamais entendu parler…

Mais elle est pressentie pour croître de +400% (x5) dans les années à venir.

Sa stratégie est simple : automatiser tous les entrepôts avec une suite de technologies robotiques unique au monde.

L’automatisation des entrepôts surfe sur une puissante convergence technologique (nous en avons déjà parlé dans cette lettre) qui va changer la façon dont nous travaillons : la convergence IA + Robotique… En clair, des robots intelligents.

Cette entreprise vaut aujourd’hui moins de 20 milliards de dollars, mais elle pourrait monter à 100 milliards de dollars d’ici 12 à 24 mois sans qu’il ne s’agisse d’une bulle… mais simplement parce qu’elle réglerait un des plus gros problèmes de la mondialisation : la compétition acharnée sur le coût du travail.

Avec des entrepôts 100% automatisés, les entreprises deviennent encore plus compétitives sans avoir besoin de délocaliser tous les 10 ans dans les pays les plus pauvres au monde.

Cela engendre d’énormes gains de productivité, tout en évitant que la compétition entre pays se fasse sur qui offre les pires conditions de travail.

Nous attendons un x5 à court-moyen terme sur cette entreprise, mais elle pourrait rapporter encore plus à long terme.

Voici comment ça va se passer

Il vous suffit de cliquer ici ou sur n’importe quel bouton de cette page pour accéder au bon de commande.

Vous n’aurez qu’à remplir vos coordonnées, choisir votre moyen de paiement, et vous recevrez tous vos cadeaux : 

… Tout ça pour 29€ seulement !

À l’issue de vos 3 mois, vous aurez 2 possibilités : 

Mais ce n’est pas tout : je tiens à ce que vous fassiez l’essai sans prendre aucun risque

C’est pourquoi je vous offre une garantie Satisfait ou Remboursé qui couvre l’intégralité de votre premier mois d’abonnement !

Garantie Satisfait ou Remboursé pendant 30 jours

Une fois que vous aurez rejoint Profits Asymétriques, vous aurez accès à tous vos dossiers, le site Profits Asymétriques, le portefeuille en ligne…

Et vous pourrez interrompre votre abonnement à chaque trimestre puisque vous n’êtes lié par aucun engagement.

Mais j’ai décidé d’aller encore plus loin.

Pendant les 30 premiers jours de votre abonnement, vous pouvez nous écrire si vous estimez que cela ne vous convient pas.

Si, pour une raison ou pour une autre, vous estimez que tout ce que vous avez reçu ne vaut pas les 29€ que vous aurez dépensé…

Nous vous rembourserons sans poser de questions.

Je suis tellement sûr de la qualité de ce que je vous enverrai (plus de 600€ de valeur pour 29€…) que je peux me permettre de vous offrir cette garantie.

Je sais que les seules annulations concerneront des gens qui se sont trompés ou qui n’ont pas envie d’investir… mais les investisseurs qui veulent saisir les meilleures opportunités tech ou crypto seront comblés.

Si c’est votre cas, ne perdons pas plus de temps.

Cliquez ici pour accéder au bon de commande, remplissez le formulaire et vous recevrez vos 3 dossiers, votre abonnement à Profits Asymétriques et votre accès à au portefeuille en ligne…

Je vous enverrai également des dossiers de démarrage si vous débutez et que vous n’avez jamais investi.

Ils vous apprendront comment acheter des actions ou des cryptos si vous ne l’avez jamais fait. 

Maintenant, la balle est dans votre camp. Si vous estimez que toutes ces opportunités valent 29€, foncez.

Si non, aucun problème.

Merci de m’avoir lu jusqu’ici. J’espère vous revoir bientôt chez Argo Éditions.

Amicalement,

Marc Schneider